Mea culpa
Mea culpa, j'avoue, j'ai des a-priori.
Littérature hébreu, ça signifiait pour moi littérature engagée, politisée, religieuse voire mystique, bref rien suceptible de m'attirer. Puis une collègue m'a parlé de "Crise d'asthme" d'Etgar Keret en Babel-Actes Sud. Et là, j'ai eu honte de mes préjugés tant ce recueil de nouvelles n'a cessé de me surprendre, m'étonnant de bout en bout. Chaque nouvelle est différente de la précédente, tour à tour violente, lapidaire, onirique, nostalgique, surréaliste. Bref, un plaisir ! Du coup, je lis son deuxième recueil "Un Homme sans tête" toujours chez Actes Sud (merci Obni !) et je savoure...
Bon, maintenant il faut que je m'attaque à mes tonnes d'autres préjugés littéraires : la SF, Werber, Marc Lévy, les romans historiques, la littérature chinoise, la fantasy, etc.