Tea time
Il était une fois, lors d’une tentative de réconciliation avec ma
machine (si, si, Catherine, je t’assure qu’elle mord !), je m’étais
lancé dans la confection d’une Tremimi (30 mn qu’elle disait Innamorata
!). Trois mois plus tard, des milliers de bloutchs à cause
de ma machine (un coup bas de sa part !) camouflés à coup de biais
cousus à la main, des traits de coupes au feutre en plein milieu de la
poitrine (gros doigts + tête en l’air = n’importe quoi) camouflés avec
du texte, des traces de colles (mais d’où sortent-elles ?) camouflées
avec une tasse géante : voilà un objet hybride, mi-robe mi-tablier qui,
si ça se trouve et pour continuer dans la liste des tuiles, n’ira pas à
Adl car je ne lui ai jamais essayé (trop fastoche sinon) !
En tout cas, voilà un truc que je peux barrer sur ma liste des « A finir un jour si Dieu me prête vie».